Le parti pris des poses

EIFFYX

Francis Ponge, auteur de « Le parti pris des choses » (1942), écrit le 29 janvier 1954 : 

« A partir du moment où l’on considère les mots (et les expressions verbales) comme une matière, il est très agréable de s’en occuper. Tout autant qu’il peut l’être pour un peintre de s’occuper des couleurs et des formes. Très plaisant d’en jouer. (…) Mais s’agissant de rendre le rapport de l’homme au monde, c’est seulement de cette façon qu’on peut espérer réussir à sortir du manège ennuyeux des sentiments, des idées, des théories, etc. ». 

Eiffyx, auteurs de « Le parti pris des poses » (2011), écrivent le 28 août 2012 : 

« Quand Yx se saisit par instinct des choses qui l’entourent, Eiff préfère, lui, les épier pour qu’elles consentent au bout du compte à confesser leur part d’ombre, de poésie ou de trivialité. C’est qu’ils s’imaginent, ces deux-là, que la Nature et les gens mènent en douce une double vie, qu’ils font des cachotteries. Alors Eiffyx s’entêtent à débusquer les anguilles sous les roches et optent pour un parti pris, celui des poses que le hasard leur offre. » 

Guerre de clochers
Au plaisir de la chair
La part d'ombre et de lumière
A la portée de tous
La pollution (américaine)
la pédophilie dénoncée
La guerre des pierres
Vélo garé en iris
La Nature reprend ses droits
Lieu de deal supposé
Savonnerie de Bretagne
Le Messie Jésus sur la croix
Sémiologie de l'image
Ronce glacée
Woody Allen au rabais
La fougère et le barbelé
Accouchement au monde